Robe nounours et berlingots
Tissu en jersey de laine très épais du marché et tissu berlingots de mon stock, doublure en jersey de viscose eBay.
Mon interprétation de l’Aristo.
J’ai pris la taille M (pour un 40-42 du commerce) et fait les ajustements pour ma morpho : rétrécir épaules, creuser le dos, élargir aux hanches, creuser la taille, déplacer les poches de 2 centimètres vers le haut. Par contre là je n’ai pas touché aux manches que j’avais allongées et rendues plus étroites en première approche. J’ai fait la poche complète dans le tissu de contraste, pour ne pas créer de surépaisseur. Elles sont uniquement décoratives, je n’y loge même pas mes minuscules mimines. Ajouté une doublure, recoupé les manchettes en arrondi pour qu’elles s’ajustent aux manches.
Ma grosse tête a un peu de mal à passer l’encolure, mais j’aime ce joli col qui protège les cervicales du froid sans serrer le cou.
À porter : la doublure viscose est confortable mais peu glissante, ce n’est pas encore la solution idéale. Le tissu qui ressemble à une peau de nounours est bien chaud mais contrairement à ce que j’avais pensé en le voyant, sa teinte caramel détonne dans ma garde robe…Que vais-je faire du tissu qui reste du coup ? L’ourlet roulotte un peu sur le bord encore : pour éviter les épaisseurs j’ai fait un ourlet avec biais, mais ça manque de poids.
Et pour une robe d’hiver, finalement les manches 3/4 ne sont pas adaptées pour moi. Vu le tissu, j’aurais du faire une robe “d’hotesse”, genre pour avoir chaud dans une maison glaciale sans rester en manteau ou en robe de chambre toute la journée.
Je referais certainement ce beau col l’hiver prochain.
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