Juliette printanière

« »

Cela devait faire presque 10 ans que je n'avais pas cousu ce patron, et puis tout un coup ça m'a repris. Par flemme aiguë de le décalquer (je l'ai en pochette), j'ai ajouté les marges et directement coupé dans le patron. Je ne sais pas vous, mais je fais partie de celles qui aiment les marges incluses (mais 1 cm SVP !). Il m'arrive de renoncer ou de changer d'idée de patron uniquement parce que les marges ne sont pas incluses... Bref, team feignasse, surtout sur les grosses pièces.

J'ai donc cousu cette chemisette, sans sa poche, dans ce Liberty Poppy & Daisy acheté expressément pour aller avec ce pantalon beige rosé dégoté en soldes pour une misère et qui n'allait pas avec grand chose de ma penderie, à part du blanc. Or l'esthétique blanche/beige d'influenceuse Instagram, ce n'est pas trop mon délire, je préfère les choses plus colorées. Donc, on ne se refait pas, du Liberty. 

La couture est très rapide, je dirais maximum 2h30, col tailleur inclus. Une fois que celui-ci est fait, c'est une affaire pliée en une soirée. Cousue le soir, portée dès le lendemain, un coupon de moins dans mon stock. Taille 36, mon entoilage est peut-être un poil raide pour le Liberty car je trouve le col relativement rigide. Au Canada je ne trouve pas de Vliesline avec toutes les références, on utilise du Pellon et il y a moins de variété (mais je ne fais pas ma difficile car je l'achète sur la plaque à un tarif très raisonnable).

Dans les chutes j'ai réussi à caser le short Hoya de Jolilab (patron gratuit sur leur site, il faut fouiller mais ça se trouve). Si le coeur m'en dit, je peux même transformer l'ensemble en pyjama complet, mais ce n'est pas prévu !

[et sinon les photos ne sont pas top mais je viens d'avoir une grosse chirurgie des gencives et du coup ma mâchoire est toute enflée et ce n'est pas particulièrement glamour !]

Vous avez aimé ce projet?

Vous devez être connecté pour publier un commentaire.

Peggy (il y a 1 jour, 15 heures)

Très mignon !

Mousse (il y a 14 heures)

Oui c'est une bonne idée, on ne sait jamais quoi mettre avec du blanc.