Ah bon! Je n'avais pas pensé à cela. Je suivais bêtement les conseils de Christelle Beneytout dans son livre: "Guide de la couture à la surjeteuse" (1ère édition).
J'utilise des embouts fins que l'on peut monter sur la plupart des aspirateurs. Genrehttps://www.amazon.fr/Accessories-Aspirateurs-Millim%C3%A8tres-Green-Label/dp/B01BMHS330/ref=sr_1_5?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&dchild=1&keywords=embout+aspirateur+fin&qid=1624177701&sr=8-5. Il n'y a rien dans une surjeteuse -au moins une mécanique- qui puisse être dérangé par aspiration. Ce que dit mon bouquin sur l'entretien personnel des surjeteuses -j'ai eu du mal à en trouver un -c'est que les surjeteuses familiales dites "sans entretien" c'est juste une manière de les user plus vite. Ce que montre l'ouverture des capots c'est que la poussière rentre de toutes façons, peut-être plus dans les machines avec les réglages de tension verticaux qu'avec ceux rotatifs (moins d'entrées d'air).Je ne sais pas. Ce que ça montre aussi c'est que la partie mécanique d'une surjeteuse ne comporte pas d'engrenages (donc, là, pas besoin de graisse blanche ou verte) . Comme pour tout mécanisme, la règle c'est la touche parcimonieuse d'huile aux endroits où le métal frotte sur le métal, une fois que tout est bien propre. Si vous avez peur d'en coller partout, en particulier sur les disques de tension, abstenez vous. Les compresseurs d'air utilisés par les ateliers sont plus costauds que les bombes d'air séc et peuvent être utilisés généreusement pour tout décoller une fois la surjeteuse toute deshabillée.
En gros et pour une mécanique simple (mon bouquin ne parle pas des surjeteuse à enfilage air et réglages électronique) si vous faîtes l'entretien vous-même, aussi souvent que ça vous passe par la tête. L'investissement de 3 tournevis et 1 bouteille d'huile est fait une fois.
Dans les autres cas, suivez la prescription de fréquence du vendeur ou du réparateur. La règle pour le changement de couteau c'est...quand il est usé. Ce qui dépends de l'usage intensif qu'on fait, des tissus, et de la qualité des couteaux. Ainsi que des "accidents" avec épingles...Si on est sujette à ce type d'accident, il vaut mieux investir dans un paquet de lame peu chères que l'on change plus souvent que dans une lame coûteuse au titane ou genre.
@missumlaut: dans la mienne il y a bien de la graisse blanche, est-ce que c’est parce qu’elle est double emploi « surjeteuse et recouvreuse » ? D’ailleurs je ne recommande pas ce genre de modèle combiné, c’est très casse-tête à utiliser, il faut sans arrêt changer les réglages, du coup je l’utilise juste en surjeteuse … et j’ai fini par racheter une recouvreuse quelques années plus tard ( Janome 1000Cpx : très déçue aussi)
Pour repérer les endroits où il faut huiler, je tourne le volant de la machine afin de voir quelles sont les parties qui coulissent. Dans le manuel d'utilisation il n'y a aucune précision en ce qui concerne le graissage de la machine. Pour le couteau, je remplace lorsqu'il ne coupe plus ! Sur mon ancienne Elna c'était une galère car il fallait bien l'ajuster sinon même neuf il ne coupait toujours pas, sur ma Babylock comme pour tout le reste, c'est on ne peut plus simple à remplacer et rien à ajuster. Je démonte aussi le carter en dessous (là où sont les pieds) afin de faire un gros dépoussiérage. C'est à cet endroit que s'accumulent les fils et peluches de toute sorte, surtout lorsque l'on travaille du polaire. Pour ce qui est de la révision, elle fonctionne comme au premier jour et elle est bichonnée mais j'y pense quand même. Le problème étant que je ne veux absolument pas la confier à un transporteur négligeant qui va me la brutaliser ou pire me la perdre...
Tizia tubino : je ne sais pas répondre pour le cas de ta machine ! Ma surjeteuse ne fait que surjeteuse, l'huilage c'est aux rencontres métal /métal en frottement, que ça coulisse ou que ça tourne . La graisse, c'est pour les pignons, qui ne sont pas toujours en métal et l'huile ne tiendrais pas assez longtemps.
@missumlaut: est-ce que tu sais comment s’appelle cette graisse blanche (du saindoux ? non je blague) et où je peux en trouver ? Je me contentais jusqu’à présent de retartiner l’ancienne…
Désolée de m’écarter du sujet initial, mais peut-être que cela peut servir à d’autres qui se débrouillent comme elle peuvent pour l’entretien de leurs machines.
Ben ça s'appelle graisse blanche en général, c'est de la graisse fine pour mécanique. J'en ai choisi de la verte, d'ailleurs, après avoir lu les commentaires clients. J'ai acheté ça dont la propriété est de ne pas sécher et d'être compatible avec les matières plastiques, dans ma MAC il y a des pignons en nylon ou genre en plastique. Il en faut très peu. Pour éviter de mettre trop d'huile mon compagnon a mis un bout de seringue à la burette d'huile. Je pense qu'une canule serait pas mal pour mettre de la graisse.
Ok, merci. J’ai aussi des pièces « plastiques «. Sur le site de Jean-Claude au chapitre entretien par le réparateur: il y a une photo avec un gros paquet de graisse, visiblement il en retire une partie ensuite. Bon, je vais me débrouiller, j’ai déjà remis en état de marche 3 vieilles machines, d’après ce que je sais il faut beaucoup moins de gras sur les nouvelles.
Ah bon! Je n'avais pas pensé à cela. Je suivais bêtement les conseils de Christelle Beneytout dans son livre: "Guide de la couture à la surjeteuse" (1ère édition).
Ben je donne volontiers un coup de bombe à air pour nettoyer ma surjeteuse aussi.... Donc aspirer seulement.
J'utilise des embouts fins que l'on peut monter sur la plupart des aspirateurs. Genrehttps://www.amazon.fr/Accessories-Aspirateurs-Millim%C3%A8tres-Green-Label/dp/B01BMHS330/ref=sr_1_5?__mk_fr_FR=%C3%85M%C3%85%C5%BD%C3%95%C3%91&dchild=1&keywords=embout+aspirateur+fin&qid=1624177701&sr=8-5. Il n'y a rien dans une surjeteuse -au moins une mécanique- qui puisse être dérangé par aspiration. Ce que dit mon bouquin sur l'entretien personnel des surjeteuses -j'ai eu du mal à en trouver un -c'est que les surjeteuses familiales dites "sans entretien" c'est juste une manière de les user plus vite. Ce que montre l'ouverture des capots c'est que la poussière rentre de toutes façons, peut-être plus dans les machines avec les réglages de tension verticaux qu'avec ceux rotatifs (moins d'entrées d'air).Je ne sais pas. Ce que ça montre aussi c'est que la partie mécanique d'une surjeteuse ne comporte pas d'engrenages (donc, là, pas besoin de graisse blanche ou verte) . Comme pour tout mécanisme, la règle c'est la touche parcimonieuse d'huile aux endroits où le métal frotte sur le métal, une fois que tout est bien propre. Si vous avez peur d'en coller partout, en particulier sur les disques de tension, abstenez vous. Les compresseurs d'air utilisés par les ateliers sont plus costauds que les bombes d'air séc et peuvent être utilisés généreusement pour tout décoller une fois la surjeteuse toute deshabillée.
En gros et pour une mécanique simple (mon bouquin ne parle pas des surjeteuse à enfilage air et réglages électronique) si vous faîtes l'entretien vous-même, aussi souvent que ça vous passe par la tête. L'investissement de 3 tournevis et 1 bouteille d'huile est fait une fois.
Dans les autres cas, suivez la prescription de fréquence du vendeur ou du réparateur. La règle pour le changement de couteau c'est...quand il est usé. Ce qui dépends de l'usage intensif qu'on fait, des tissus, et de la qualité des couteaux. Ainsi que des "accidents" avec épingles...Si on est sujette à ce type d'accident, il vaut mieux investir dans un paquet de lame peu chères que l'on change plus souvent que dans une lame coûteuse au titane ou genre.
@missumlaut: dans la mienne il y a bien de la graisse blanche, est-ce que c’est parce qu’elle est double emploi « surjeteuse et recouvreuse » ? D’ailleurs je ne recommande pas ce genre de modèle combiné, c’est très casse-tête à utiliser, il faut sans arrêt changer les réglages, du coup je l’utilise juste en surjeteuse … et j’ai fini par racheter une recouvreuse quelques années plus tard ( Janome 1000Cpx : très déçue aussi)
Pour repérer les endroits où il faut huiler, je tourne le volant de la machine afin de voir quelles sont les parties qui coulissent. Dans le manuel d'utilisation il n'y a aucune précision en ce qui concerne le graissage de la machine. Pour le couteau, je remplace lorsqu'il ne coupe plus ! Sur mon ancienne Elna c'était une galère car il fallait bien l'ajuster sinon même neuf il ne coupait toujours pas, sur ma Babylock comme pour tout le reste, c'est on ne peut plus simple à remplacer et rien à ajuster. Je démonte aussi le carter en dessous (là où sont les pieds) afin de faire un gros dépoussiérage. C'est à cet endroit que s'accumulent les fils et peluches de toute sorte, surtout lorsque l'on travaille du polaire. Pour ce qui est de la révision, elle fonctionne comme au premier jour et elle est bichonnée mais j'y pense quand même. Le problème étant que je ne veux absolument pas la confier à un transporteur négligeant qui va me la brutaliser ou pire me la perdre...
Tizia tubino : je ne sais pas répondre pour le cas de ta machine ! Ma surjeteuse ne fait que surjeteuse, l'huilage c'est aux rencontres métal /métal en frottement, que ça coulisse ou que ça tourne . La graisse, c'est pour les pignons, qui ne sont pas toujours en métal et l'huile ne tiendrais pas assez longtemps.
@missumlaut: est-ce que tu sais comment s’appelle cette graisse blanche (du saindoux ? non je blague) et où je peux en trouver ? Je me contentais jusqu’à présent de retartiner l’ancienne…
Désolée de m’écarter du sujet initial, mais peut-être que cela peut servir à d’autres qui se débrouillent comme elle peuvent pour l’entretien de leurs machines.
Ben ça s'appelle graisse blanche en général, c'est de la graisse fine pour mécanique. J'en ai choisi de la verte, d'ailleurs, après avoir lu les commentaires clients. J'ai acheté ça dont la propriété est de ne pas sécher et d'être compatible avec les matières plastiques, dans ma MAC il y a des pignons en nylon ou genre en plastique. Il en faut très peu. Pour éviter de mettre trop d'huile mon compagnon a mis un bout de seringue à la burette d'huile. Je pense qu'une canule serait pas mal pour mettre de la graisse.
Ok, merci. J’ai aussi des pièces « plastiques «. Sur le site de Jean-Claude au chapitre entretien par le réparateur: il y a une photo avec un gros paquet de graisse, visiblement il en retire une partie ensuite. Bon, je vais me débrouiller, j’ai déjà remis en état de marche 3 vieilles machines, d’après ce que je sais il faut beaucoup moins de gras sur les nouvelles.